Le corpus comme guide d’optimisation des contenus (1ère partie)

Une bonne stratégie SEO passe, on le sait, par un contenu de qualité écrit pour l'internaute mais également compréhensible par une machine et, donc, un moteur de recherche comme Google. Pour cela, la mise en place de corpus lexicaux est une phase indispensable et de plus en plus utilisée par de nombreux référenceurs. Mais comment ces corpus sont-ils créés et à quoi servent-ils ? Voici un article, en deux parties, qui a pour ambition de répondre à ces questions. Avec, ce mois-ci, une explication des concepts pris en compte dans ce domaine...

Début de l'article :

Ces derniers mois, si vous suivez l’actualité du référencement web en France, vous n’avez pas pu passer à côté du concept de « corpus » pour le référencement. 

Depuis quelques semaines, les américains se mettent à en parler également, sans utiliser forcément les mêmes termes. Si même eux, qui sont d’habitude plus adeptes du référencement orienté webmarketing que technique, commencent à s’y intéresser de près, c’est bien parce qu’il y a une carte à jouer dans ce domaine. 

Qu’est-ce qu’un corpus SEO ? 

Un corpus SEO, malgré son nom qui peut laisser dubitatif, n’est rien de plus qu’un guide d’aide à la rédaction. C’est un document qui contient une liste de termes, issus de l’analyse d’un corpus documentaire, auxquels sont associés des valeurs ou d’autres mots. 

Finalement, ce guide est une représentation simplifiée des contenus correspondants à une thématique ou une requête. 

Un rédacteur motivé par l’optimisation d’un article pour le référencement web peut alors utiliser le guide comme recette. Charge à lui de saupoudrer son texte avec les bons ingrédients, dans les bonnes proportions. 

Le terme de « corpus SEO », communément utilisé actuellement par les référenceurs, risque d’évoluer pour devenir plus précis, notamment en évitant de prendre comme nom celui de la première étape d’un processus plus complexe. 

De notre côté, nous apprécions de parler de « guide d’aide à la rédaction », notamment parce que cette appellation est plus fidèle à la réalité, plus concrète, et assez imprécise pour permettre de produire des variantes du guide « classique » tel qu’on le conçoit généralement. 
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