La recherche de mots clés, dans le cadre d’une stratégie SEO, nécessite bien sûr d’avoir à sa disposition les outils adéquats pour mener à bien ses investigations. Mais il s’agit également, qui plus est dans une démarche plus spécifiquement B2B, d’appréhender finement les métiers traités et les contextes abordés. Car sans cela, on peut vite passer à côté du trafic escompté… Voici donc la suite de notre article à ce sujet, avec des pistes pour chercher, trouver et organiser la connaissance là où elle se trouve, afin d’adopter une démarche plus poussée dans sa recherche de mots-clés.
Notre premier article sur le sujet avançait la conclusion suivante : seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin ! Sortez les mouchoirs tellement c’est beau ! Séquence émotion motivante à partager en petit groupe intime … et bosseur ! OK, mais concrètement ? Retroussons-nous les manches : ce billet nous détaille les 20 atouts d’une équipe éditoriale interne pour une entreprise B2B. Certains arguments constituent une réelle source d’inspiration pour se poser les bonnes questions : identifier les bons profils et moyens permettant d’acquérir de la connaissance à tous les niveaux pertinents. Objectifs : enrichir sa recherche de mots-clés pour aboutir à une « growth » recommandation !
Qui sait précisément ce que fait l’entreprise ? Quelles questions poser ?
Lorsque ce que vend une entreprise B2B parait a priori complexe, le premier pilier de la connaissance consiste à comprendre son activité dans les moindres détails. Pour cela, rien de mieux que de questionner et d’échanger avec les experts métiers en interne tels que :
- Les développeurs,
- Les équipes techniques,
- Les concepteurs,
- Les directeurs et chefs de projets,
- Le product owner,
- Les « fabricants »,
- Tout autre profil travaillant sur un aspect technique nécessaire au bon fonctionnement du produit ou du service vendu.
Pour enrichir sa prise d’informations, il est également indispensable d’interroger la force commerciale de l’entreprise et ses clients. Ces profils sont abordés plus bas.
Types de questions basiques à poser pour commencer :
- Quelle est l’activité de l‘entreprise dans les détails ?
- Qu’est-ce qu’elle vend ?
- À qui ?
- Pourquoi ?
- Quels sont les arguments de vente ?
- Comment ça marche ?
- Pour quelles raisons cela pourrait ne pas marcher ?
- Quelles sont les techniques ou technologies utilisées ?
- L’entreprise est-elle seule à les proposer ?
- Qu’est-ce que cela apporte à l’utilisateur/l’acheteur ?
- Quels protocoles doivent être appliqués pour que ça marche ?
- Quelles réglementations en vigueur doivent être respectées ?
Au fur et à mesure que nous nous posons ces questions, cela déclenche potentiellement d’autres interrogations, telles que la compréhension de certains acronymes. C’est alors un très bon signe : nous creusons profondément le sujet pour mieux le cerner.
Une première liste riche de mots pertinents et d’expressions spécifiques est alors couchée sur le papier.
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