Google a tué son service Reader le 1er juillet dernier. Même si on peut le regretter, on n'a pas d'autre choix que de tenter de lui trouver un remplaçant. Parmi les dizaines de prétendants, l'un des plus sérieux et des plus complets est FeedSpot. Même s'il ne fait pas oublier Google Reader, il dispose tout de même de solides atouts pour devenir l'un de vos compagnons de route au quotidien. Décryptage...

Cet article fait partie de la Lettre Réacteur #149 du mois de juillet-août 2013

Début de l'article :

Depuis l'annonce par Google de la fermeture de son agrégateur de flux RSS en mars dernier, c'était le branle-bas de combat chez les professionnels de l'information (et les autres) pour essayer de lui trouver un remplaçant. On ne compte plus les articles et billets du type « Les 3 meilleurs remplaçants à Google Reader », « Les 5 alternatives à Google Reader », « 10 agrégateurs à tester », etc. Il fallait cependant un travail plus complet et approfondi sur le sujet et c'est Serge Courrier, journaliste, consultant et formateur en recherche et veille sur internet, qui nous l'a fourni fin juin. Il nous propose en effet une étude de 270 pages téléchargeable à l'adresse suivante : http://bit.ly/11Ann5a (fichier PDF en Creative Commons sur Slideshare). Il y étudie plus de 35 solutions à travers une centaine de critères et nous avons décidé de mettre en œuvre et de détailler l'usage de celle qui lui semble la plus aboutie actuellement dans la catégorie des services en ligne, Feedspot (http://www.feedspot.com/).

Notez en effet qu'il a classé les agrégateurs par plateformes et que son étude détaille donc :
- Les navigateurs (fonction interne de lecture de flux RSS) ;
- Les extensions de navigateur ;
- Les gestionnaires de courrier électronique ;
- Les logiciels monoposte ;
- Les logiciels de veille gérant le RSS (ici l'unique Website Watcher) ;
- Les services en ligne ;
- Les lecteurs en ligne à héberger sur son serveur ;
- Les lecteurs mobiles indépendants de Google.

Une étude vraiment complète donc...

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Fichier PDF téléchargeable ici (la lettre Réacteur n'était à cette époque-là disponible que sous cette forme).