A l'occasion de la sortie de son livre (en tant que co-auteur) "Ce que Google veut" (éditions Studyrama Pro) et en avant-première de sa future intervention à l'événement "Que Du Web" en juin prochain, nous avons posé quelques questions à Julien Ringard, directeur SEO de la société Digimood, au sujet de la stratégie de référencement naturel pour un site web qui désire se développer à l'international. Voici ses réponses.
Début de l'article :
Bonjour Julien et merci de répondre à nos questions sur le référencement international. Tout d'abord, peux-tu te présenter à nos lecteurs ?
Mon aventure Web a commencé il y a 10 ans en tant que développeur. Je me suis ensuite spécialisé dans le SEO. Je suis passé par plusieurs agences, à différents postes. Je suis aujourd’hui directeur SEO et associé à l’agence Webmarketing Digimood à Marseille (anciennement Sidièse Méditerranée). Notre travail s’articule autour de 2 missions : la génération de trafic et la conversion. Pour répondre à ces missions, nous avons mis en place plusieurs pôles : SEO, SEA, SMO et un pôle affiliation (Digiperf). C’est un travail au quotidien pour rivaliser avec les concurrents de nos clients et obtenir les meilleurs résultats possible.
Ajoutons à cela une première pour moi assez récente en tant qu’auteur. J’ai en effet partagé ma vision du référencement dans le livre “Ce que Google veut, comprendre le référencement naturel”, coécrit avec Benjamin Thiers (NDLR : voir http://www.abondance.com/actualites/20160308-16257-ce-que-google-veut-notes-de-lecture.html)
En bref, une belle aventure qui n’aurait pas été possible sans l’émergence du Web et qui m’a fait partir du nord de la France pour habiter aujourd’hui dans le Sud, à Marseille. Une très belle histoire qui me motive à me lever tous les matins pour accompagner mes clients, partager des moments forts avec mes collaborateurs et rencontrer des passionnés qui comme moi aiment partager leurs connaissances.
Qu'est-ce qui t'as poussé à t'intéresser plus particulièrement au SEO international ? ...
Fichier PDF téléchargeable ici (la lettre Réacteur n'était à cette époque-là disponible que sous cette forme).